CONCEPT DU 
  PROJET AVEC INTEGRATION
  
    TOURISTIQUE 
    ECONOMIQUE 
    CULTURELLE 
    ECOLOGIQUE 
 
 
  
  1. Schéma de base
  
    
      - Il s’agit de transformer cette surface en 
      centre technologique et touristique, basé principalement sur un circuit 
      modulable. Cet outil de travail indispensable à l’installation d’usines de 
      hautes technologies (dans la zone industrielle) et à vocation écologique, 
      permettra le développement de toute une  série d’activités annexes.
- Ce projet est composé de dix circuits aux 
      caractéristiques différentes et indispensables aux tests de véhicules 
      utilisant les énergies renouvelables telles que l’électricité, le solaire, 
      l’hydrogène… 
- Un circuit de formation (pluie, neige, 
      glace) est principalement destiné aux exercices d’auto-école, ainsi qu’à 
      la police, aux pompiers, à l’armée… 
- Des musées interactifs, un palais des 
      congrès avec universités et hautes écoles, un centre multimédias unique en 
      son genre..., seront autant d’outils de création et de divertissement 
      réunis dans un complexe novateur… 
- Une aire écologique très développée et 
      didactique ainsi que des téléphériques ou des funiculaires en liaison avec 
      Ovronnaz au nord et Nendaz au sud 
      complètent ce centre. 
- Les accès existants ainsi que l’aéroport de 
      Sion seront revalorisés par un tel projet doté d’infrastructures 
      importantes (accès, parkings, équipement d’accueil, sécurité…) qui 
      permettront d’organiser des manifestations d’envergure nationale et 
      internationale (ex: concerts, manifestations culturelles et sportives)
      
- Ce centre sera une attraction nouvelle et 
      permanente (365 jours par an) au cœur d’un domaine touristique de première 
      importance qu’est le Valais. 
- La publicité du lieu lui permettra de se 
      faire connaître du plus grand nombre. Ce centre, qui se veut rassembleur 
      d’une identité valaisanne aussi bien que suisse, se doit d’être une 
      vitrine ouverte sur le monde. 
 
  
 
  
 
 
  
  2. Quelques données 
  économiques
  
    
    M. Emmanuel Gaillard a précédemment effectué une 
    étude donnant des indications intéressantes sur ce site. 
    Nous retiendrons principalement de cette étude, les faits suivants:
      - L’importance du trafic passant par cet axe 
      N9 Martigny –Sion avec 30’900 unités/véhicules/jour (TMJ/24h)
- La vaste population concernée par la 
      proximité de ce site (population résidente permanente à moins de 40 min., 
      soit 276’170 personnes) 
- Les entrées / sorties d’autoroute proche du 
      site (notion d’utilité publique) 
- Les nuitées touristiques en Valais qui 
      profiteront directement de l’essor d’un tel projet 
 
  
    
      
    
  
  
 
 
  
  3. Un projet 
  correspondant aux aspirations touristiques et écologiques
Le secteur du tourisme est en difficulté depuis 
quelques années déjà, les entreprises n'en finissent plus de licencier leur 
personnel... Il est plus qu'urgent d'agir!
Il s'agit de prendre le contre-pied de cette situation de crise en insufflant 
une motivation nouvelle.

 
  
    
    Une écologie en évidence: 
    
  
  
 
  
    
    Hormis la place de choix réservée au biotope et 
    aux étendues d’eau, il est à signaler que les berges ainsi que les abords du 
    circuit seront aménagés sous forme de collines naturelles en harmonie avec 
    le paysage.
  Des étendues à caractère écologique existent 
  déjà en ces lieux, mais elles bénéficieront d’extensions supplémentaires, 
  ainsi que de leur revalorisation, dans le cadre de ce projet. 
  Ici, il n’y a pas d’opposition entre la technologie et l’écologie, mais bien 
  au contraire un mariage entre les deux domaines. En voici quelques exemples:
  
  
    - 
    
      
      Les techniques développées sont « propres », 
      avec, en corrélation, les énergies renouvelables telles que l’hydrogène, 
      l’électricité, le solaire… 
      
     
- 
    
      
      Les visiteurs parquent leurs véhicules sur 
      place et sont conduits depuis le site sur tous les lieux d’excursions en 
      Valais (bus navettes, trains…) 
      
     
- 
    
      
      Les déplacement sur le site se feront 
      exclusivement à pied, à vélo, en véhicules électriques, par monorails...
      
      
     
 
 
  
  4. Développement de 
  hautes technologies
  
    
    
    Pourquoi 10 circuits ? 
    
  
  
    - 
    
      
      Il s’agit d’un outil de travail qui doit être 
      performant et représenter les conditions les plus diverses de virages 
      ainsi que plusieurs possibilités de lignes droites et développements afin 
      de tester les véhicules. 
      
     
- 
    
      
      Il est ainsi possible pour des usines et des 
      laboratoires de créer et tester sur place les différentes pièces destinées 
      à l’usage de nouveaux véhicules. 
      
     
- 
    
      
      L’utilisation première de tels circuits, outre 
      la formation, concerne donc les tests de ces véhicules ainsi que les 
      applications en découlant. 
      
     
- 
    
      
      L’usage sportif ne représentant qu’un 2 à 3% de 
      l’utilisation globale. 
      
     
- 
    
      
      L’utilisation d’une soufflerie serait un atout 
      supplémentaire pour l’établissement d’industries et d’écoles. 
      
     
 
 
  
    
    La formation de spécialistes 
    
  
  
    
    
    
    •
    
    
  
  
    
    Il y a lieu de relever qu’en plus d’un centre 
    multimédias, de nouvelles écoles liées à ces activités sont envisagées, 
    dont: 
    
  
  
    
      - une école de formation de mécaniciens 
      spécialisés 
- une école d’ingénieurs en aérodynamisme et 
      design (industriel, de véhicules, de pièces et objets divers…) 
      
      
 
  
 
 
  
    
    Recherche et développement
    
    
  
  Un tel centre a aussi pour vocation de favoriser 
  l’installation de haute technologie, à savoir, la recherche: 
  
    - 
    
      
      sur les énergies renouvelables: hydrogène, 
      électricité, solaire… 
      
     
- 
    
      
      sur les nouveaux lubrifiants écologiques 
      
     
- 
    
      
      en aérodynamisme 
      
     
- 
    
      
      sur les différents matériaux (composites, 
      fibres, aluminium, céramique…) 
      
     
- 
    
      
      en procédés informatiques (soufflerie, 
      télémétrie, conception et développement assisté par ordinateur…) 
      
     
- 
    
      
      en électronique 
      
     
- 
    
    
 
  
  5. Ouverture 
  culturelle
  
    
    Voici quelques extraits de l’étude culturelle 
    menée par M. Michel Theytaz: 
    
    
      - Un emplacement de prédilection pour la 
      culture 
- Le cœur du Valais s’offre idéalement à un 
      site dévolu à la culture, au centre des alpes. 
- Il n’y a aucune contradiction entre un 
      centre technologique et un centre culturel. 
- Ce dernier s’articulera autour de deux 
      pôles complémentaires. Faire voir tout l’acquis plein de richesse de notre 
      patrimoine. Faire vivre tout ce qui se crée aujourd’hui et demain dans 
      notre canton. 
- Cette entreprise constituera notre chance 
      et notre avenir pour la formation, l’information, l’éducation permanente 
      de toutes les générations. Ce projet est respectueux d’une certaine 
      tradition mais il marque également sa volonté d’intégrer les idées 
      innovantes d’aujourd’hui! 
 
  
 
 
  
    
    ·Le 
    Valais et la culture 
                
    
    
  
  
    
      - 
      •De tout temps, le Valais 
      a été une terre privilégiée pour de nombreux artistes. 
- Pays pauvre, le Valais ne peut 
      s’enorgueillir des mêmes créations et des mêmes monuments que la France 
      des rois ou que l’Italie des princes… 
- Et pourtant, en plus modestes, les 
      témoignages et les traces de création sont innombrables chez nous. 
      
      
- Par ailleurs, la plaine ne laissait aucune 
      place à la création humaine... Le Rhône rendait quasiment inhabitables les 
      terres bien loin de son parcours. Car ce dernier était capricieux et son 
      emprise considérable...
 
 
  
    
    •Conclusion
  Chacun s’accorde sur ce point: l’on peut 
  respecter la culture de notre passé et l’on peut innover en tentant ce pari 
  formidable d’une culture de l’avenir technologique, scientifique… Voici 
  quelques réponses à nos interrogations diverses...
 
  - notre vraie culture: 
 ce n’est pas sans cesse le cliché du « vieux pays»...c’est ce qui se fait 
  sous nos yeux, ce dans quoi l’on vit…Les pièces de théâtre modernes trouvent 
  ici un large auditoire!
- suggestions aux milieux touristiques: 
 innover et  encore innover, atteindre un public jeune qui deviendra le 
  touriste-adulte de  demain!
- La  culture est un acte permanent:
 Elle se vit dans l’existence de tous les jours. La vie actuelle donne à 
  chacun- autochtones comme touristes - de longues tranches de vacances… De 
  plus, les différences ville-campagne se sont estompées, les gens deviennent de 
  plus en plus mobiles.
 Les distances, via l’autoroute, l’avion et les trains à grande vitesse 
  s’amenuisent.
- Le valaisan est-il influencé par les 
  cultures extérieures? 
 Il y a naturellement les innombrables médias... Autrefois, il y avait le 
  service mercenaire, les nombreux et illustres voyageurs, la vogue des 
  premières conquêtes alpines…
 La culture est ce que l’on hérite, elle est ce qui reste à faire dans notre 
  existence, elle est à projeter sous bien des formes, pour les générations 
  futures.
 Vaste et ambitieux programme développé ci-après!